bonjour pouver vous me corriger mes fautes Mais la porte s’ouvrit largement lentement silencieusement. Je sentis un grand froid glacial me parcourir, mes main
Français
Anonyme
Question
bonjour pouver vous me corriger mes fautes
Mais la porte s’ouvrit largement lentement silencieusement. Je sentis un grand froid glacial me parcourir, mes mains, mes pieds tout mon coup se mit à trembler d’une manier incompréhensible .je n’arrivait pas à me contrôler, je n’avais jamais eu aussi peur de ma vie .rien il n ‘y avait personne. Mais où donc était-elle passée cette étrange lumière ? Sur de mystérieuse traces lumineuses était dessinés je me décidais de les suivre pour savoir où elle se dirigeait le chemin m emmènerait à l endroit, du moins je l’espérais des empreintes .cela m’emmena à l extérieur, un frison me parcourt. Où !qu’il faisait froid par cette nuit de décembre .j ‘arrivais devant une immense bâtisse, une grange abandonnée .je m’approchais tout doucement sans faire de bruit et mit mon oreille à la porte. Aucun son ne sortit. Je m avançais pas à pas à l intérieur de cette grange pour essayer de découvrir quelques indices supplémentaires. Je regardais partout sur le sol. Mais en vrai rien ne m’attirait mon regard. Quelque chose avait du m échappé. Aucune trace. Ce n’était pas possible .elles avaient disparu puis tout à coup la luminosité revit… je levais les yeux eu l ai quelle ne fut pas une surprise en voyant au plafond une trappe. Comment faire pour accéder à l étage ? Il fallait que j’y parvienne. Mais comment ? Tout à coup me revint à l’esprit que j’avais aperçu dehors une échelle adossée à un plan de muai. Je m y dirigeais et allai la récupérer tout doucement j’escaladai je gravis marche par marche cette échelle de fortune puis j’écrivais sur la dernière marche. Je pris une grande baffée d’air et me décidais à soulever cette trappe. Qu’allais-je découvrir ? Incroyable ! Imaginable. On ne voyait cela que dans des rêves … je reste figé ose bouquer de peu d effrayer cette magnifique créature qui se trouvait en face de moi .je me pinçais pour être sur que tout cela n’était pas irréel, que mon imagination ne me jouait pas des tours. Eh non cela était bien vrai ?je n’en croyais pas mes yeux s’étaient sublimes magnifiques d une beauté incroyable jamais rien vu d aussi joli c’était une licorne une magnifique licorne. Elle avait une corne en or, elle était de couleur blanche, ses yeux bleus, elle mesurait au moins un mètre. Soudain je me rendis compte quelle était blessée que cette lumière éblouissante en fin de conte représente sa couleur vive celle qui représentait son sang me décidais de m occuper d’elle de la soigné la licorne me parla m expliqua ce qui lui était a arrivé. Elle était contente j’essayais du mieux que je puis de la soulager je fus touchés par ces paroles qu’elle s me dit, tu as été choisi comme sauveur d’animaux en voie d’extinctions, de disparition. Les animaux viendront te voir tu les soigneras, les guériras.
Mais la porte s’ouvrit largement lentement silencieusement. Je sentis un grand froid glacial me parcourir, mes mains, mes pieds tout mon coup se mit à trembler d’une manier incompréhensible .je n’arrivait pas à me contrôler, je n’avais jamais eu aussi peur de ma vie .rien il n ‘y avait personne. Mais où donc était-elle passée cette étrange lumière ? Sur de mystérieuse traces lumineuses était dessinés je me décidais de les suivre pour savoir où elle se dirigeait le chemin m emmènerait à l endroit, du moins je l’espérais des empreintes .cela m’emmena à l extérieur, un frison me parcourt. Où !qu’il faisait froid par cette nuit de décembre .j ‘arrivais devant une immense bâtisse, une grange abandonnée .je m’approchais tout doucement sans faire de bruit et mit mon oreille à la porte. Aucun son ne sortit. Je m avançais pas à pas à l intérieur de cette grange pour essayer de découvrir quelques indices supplémentaires. Je regardais partout sur le sol. Mais en vrai rien ne m’attirait mon regard. Quelque chose avait du m échappé. Aucune trace. Ce n’était pas possible .elles avaient disparu puis tout à coup la luminosité revit… je levais les yeux eu l ai quelle ne fut pas une surprise en voyant au plafond une trappe. Comment faire pour accéder à l étage ? Il fallait que j’y parvienne. Mais comment ? Tout à coup me revint à l’esprit que j’avais aperçu dehors une échelle adossée à un plan de muai. Je m y dirigeais et allai la récupérer tout doucement j’escaladai je gravis marche par marche cette échelle de fortune puis j’écrivais sur la dernière marche. Je pris une grande baffée d’air et me décidais à soulever cette trappe. Qu’allais-je découvrir ? Incroyable ! Imaginable. On ne voyait cela que dans des rêves … je reste figé ose bouquer de peu d effrayer cette magnifique créature qui se trouvait en face de moi .je me pinçais pour être sur que tout cela n’était pas irréel, que mon imagination ne me jouait pas des tours. Eh non cela était bien vrai ?je n’en croyais pas mes yeux s’étaient sublimes magnifiques d une beauté incroyable jamais rien vu d aussi joli c’était une licorne une magnifique licorne. Elle avait une corne en or, elle était de couleur blanche, ses yeux bleus, elle mesurait au moins un mètre. Soudain je me rendis compte quelle était blessée que cette lumière éblouissante en fin de conte représente sa couleur vive celle qui représentait son sang me décidais de m occuper d’elle de la soigné la licorne me parla m expliqua ce qui lui était a arrivé. Elle était contente j’essayais du mieux que je puis de la soulager je fus touchés par ces paroles qu’elle s me dit, tu as été choisi comme sauveur d’animaux en voie d’extinctions, de disparition. Les animaux viendront te voir tu les soigneras, les guériras.
2 Réponse
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1. Réponse maudmarine
Mais la porte s’ouvrit largement, lentement e silencieusement. Je sentis un grand froid glacial parcourir mes mains, mes pieds et tout mon coup se mit à trembler d’une manière incompréhensible. Je n’arrivais pas à le contrôler, je n’avais jamais eu aussi peur de ma vie, et pourtant il n ‘y avait rien ni personne. Mais où donc était passée cette étrange lumière ? De mystérieuse traces lumineuses était dessinées, je me décidais alors à les suivre pour savoir où elles se dirigeaient, le chemin m'emmènerait forcément à l'endroit désiré, du moins je l’espérais. Je vis des empreintes que je suivis jusqu'à l'extérieur, un frisson m'envahit à nouveau. Qu’il faisait froid par cette nuit de décembre. J‘arrivais enfin devant une immense bâtisse, une grange abandonnée semblait-il .je m’approchais tout doucement sans faire de bruit et mit mon oreille contre la porte. Aucun son ne sortait, je m'avançais donc pas à pas à l'intérieur de celle-ci afin de tenter de découvrir quelques indices supplémentaires. Je regardais partout sur le sol mais rien de frappant n’attirait mon regard. Quelque chose avait dû m'échapper. Plus aucune trace, cela me parait impossible, elles avaient disparu puis tout à coup la luminosité revint… je levais les yeux pour la voir et je découvre en même temps, une trappe au plafond. Comment faire pour accéder à l'étage ? Il fallait pourtant que j’y parvienne. Mais comment ? Tout à coup me revint à l’esprit que j’avais aperçu dehors une échelle adossée à un plan de muai. Je m'y dirigeais et allai la récupérer tout doucement j’escaladai, je gravissais marche par marche cette échelle de fortune pour arriver enfin sur la dernière marche. Je pris une grande bouffée d’air et me décidais à soulever cette trappe. Qu’allais-je découvrir ? Incroyable ! Inimaginable. On ne voyait cela que dans des rêves … je restai figé et n'osais bouger de peu d'effrayer cette magnifique créature qui se trouvait en face de moi. Je me pinçais pour être sur que tout cela n’était pas irréel, que mon imagination ne me jouait pas des tours. Eh non cela était bien vrai ! je n’en croyais pas mes yeux, c'était sublime, magnifique, d'une beauté incroyable et rare, c’était une magnifique licorne pourvue d'une corne en or, elle était de couleur blanche, avait des yeux bleus, et mesurait au moins un mètre. Soudain je me rendis compte quelle était blessée, que cette lumière éblouissante reflétait sa couleur vive de l'écoulement du sang. Je pris alors l'initiative de la soigner et bizarrement elle s'exprima pour le raconter la raison de sa blessure. Elle était contente j’essayais du mieux que je pouvais de la soulager, ses paroles me touchaient car elle me dit : "Tu as été choisi comme sauveur d’animaux en voie d’extinctions, de disparition. Les animaux viendront te voir tu les soigneras, les guériras" -
2. Réponse MathieuM
Il est très bien ton texte Camillou. Peu de fautes, juste quelques maladresses. Mais c'est un très joli texte, bravo :)
Je te corrige les fautes (en souligné). Regarde bien la ponctuation car tu oublies les virgules parfois et fais attention avec le passé simple : pas de s à la première personne ;)
1) Je sentis un grand froid glacial me parcourir. Mes mains, mes pieds tout mon coup se mit à trembler d’une manière incompréhensible.
==> fais une pause entre "parcourir" et "mes mains". La virgule n'est pas adéquate ici car on a l'impressions que le froid glacial parcourt aussi tes mains, tes pieds... Il faut mieux séparer par un point ou un point virgule.
2) je n’arrivais pas à me contrôler, je n’avais jamais eu aussi peur de ma vie. (Rien) il n‘y avait personne.
==> Pourquoi "rien" ? Il faut plutôt dire "Personne... il n'y avait personne".
3) De mystérieuse traces lumineuses était dessinées sur le sol. Je me décidais à les suivre pour savoir où elles se dirigeaient. Le chemin m emmènerait quelque part, du moins c'est ce que j'espérais de ces empreintes.
4) Elles me menèrent à l'extérieur, un frison me parcourut.
==> Evite la répétion du verbe "emmener". Parcourir doit être au passé simple pas au présent de narration car tous les autres verbes sont au passé
5) Mais manifestement rien n’attirait mon regard, quelque chose avait dû m échapper.
==> "en vrai" est du langage parlé, utilise plutôt "en réalité" ou "manifestement".
"rien n'attirait" mon regard et non "rien ne m'attirait mon regard".
6) "puis tout à coup la luminosité revint"
7) je levai les yeux et quelle ne fut pas ma surprise..
==> lever au passé simple est "je levai". Pas de s sinon c'est de l'imparfait.
8) Je m y dirigeai : pareil, passé simple donc pas de "s"
9) J"inspirai une grande bouffée d'air : ici c'est mieux de dire "inspirer" c'est un vocabulaire plus riche.
10) décidai : pas de s
11) je restai figé et n'osai bouger de peu d effrayer cette magnifique créature qui se trouvait face à moi : "face à moi" est plus littéraire que "en face de moi"
12) pinçai : passé simple attention.
13) je n’en croyais pas mes yeux ! Son apparence était sublime, magnifique ! Je n'avais jamais vu quelque chose d'aussi sublime. C’était une licorne, une magnifique licorne !
==> Essaye d'employer plus de ponctuation pour séparer les phrases et propositions. Par ailleurs, tu emploies "magnifique", "sublime" qui sont des adjectifs très forts, mieux vaut ne pas utiliser "joli" après car "joli" est un adjectif moins fort et ça casse la gradation que tu fais (l'intensité est brisé avec "joli" qui est un adjectif un peu banal)
14) en fin de compte (et non conte)
15) Soudain je me rendis compte quelle était blessée, que cette lumière éblouissante représentait en réalité sa couleur vive, celle qui représentait son sang. Je décidai de m occuper d’elle, de la soigner et la licorne me parla, m expliqua ce qui lui était a arrivé.
==> met des virgules pour séparer les phrases.
16) je fus touché par les paroles qu’elle m'adressa :
"Tu as été choisi comme le sauveur des animaux en voie d’extinction"
==> inutile de rajouter "de disparition" car exctintion veut dire la même chose.