Bonjour j’ai besoin d’aide pour les questions qui suivent ce poème svpp C’est aujourd’hui que c’est arrivé Je guettais l’événement depuis le début de la travers
Question
C’est aujourd’hui que c’est arrivé
Je guettais l’événement depuis le début de la traversée
La mer était belle avec une grosse houle de fond qui nous faisait rouler
Le ciel était couvert depuis le matin
Il était quatre heure de l’après-midi
J’étais en train de jouer aux dominos
Tout à coup je poussai un cri est courus sur le pont
C’est ça c’est ça
Le bleu d’outre-mer
Le bleu perroquet du ciel
Atmosphère chaude
On ne sait pas comment cela s’est passé et comment définir la chose
Oui tout monte d’un degré de tonalité
Les soirs j’en avais la preuve par quatre
Le ciel était maintenant pur
Le soleil couchant comme une roue
La pleine lune comme une autre roue
Et les étoiles plus grande plus grande
Ce point se trouve entre madère à tribord et Casablanca à bâbord
Déjà
1 Réponse
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1. Réponse mariejoe57
Réponse :
bonjour
Explications :
voici des éléments pour t'aider dans ton devoir
1. poème en vers libres ( la longueur des vers n’est pas la même)
- pas de rimes (juste aux vers 1/2/3 rime en é)
- pas de ponctuation
2.
- mer – pont – tribord-bâbord - ….
3. autre titre : « le basculement soudain ». En effet on retrouve le moment particulier et la soudaineté de l’événement
4. attente du poète : le poète attend un moment intense, particulier, magique (« tout monte d’un degré, maintenant, plus grandes.. »)
5. trois procédés d’écriture qui expriment l’émerveillement : il crie, il court, ses réactions sont rapides, vives. La répétition de « C’est ça, c’est ça » « plus grande, plus grande » qui fait ressortir son émotion
6. ponctuation personnelle du dernier vers du poème : je mettrais des points de suspension « Déjà … » pour montrer que cela n’a pas duré très longtemps et que l’auteur attend déjà une nouvelle fois cette magie, cet émerveillement
7. lien avec l’image : pas d’image ……
grammaire
1. a.valeur de l’imparfait : temps de l’arrière-plan
b. « tout à coup », le temps du passé simple de l’indicatif qui exprime une action de premier plan et indique la soudainement de l’événement
2. « qui nous faisait rouler » : proposition subordonnée relative, introduite par le pronom relatif « qui », complète l’antécédent houle de fond
« comment cela s’est passé » : proposition interrogative indirecte, COD
3. outre : autre mot : outre-tombe
4. réécriture
« Ils guettaient l’événement depuis le début de la traversée
La mer était belle avec une grosse houle de fond qui les faisait rouler
le ciel était couvert depuis le matin
Il était 4 heures de l’après-midi
Ils étaient en train de jouer aux dominos
Tout à coup ils poussèrent un cri et coururent sur le pont
Mais tout monte d’un degré de tonalité
Le soir ils en avaient la preuve par quatre. »